Derrière une problématique se cache une émotion
L'hypnose est un outil de changement puissant
Une séance d’hypnose ne remplace pas un avis médical.
Informations et Contre-indications aux thérapies brèves proposées
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Les personnes en cours de traitement médical ne doivent en aucun cas l’arrêter, l’hypnose ne se substitue pas au traitement médical.
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Ne convient pas aux personnes bipolaires, personnalités borderline, schizophrènes, paranoïaques, maniaco-dépressives.(Support avec médecin généraliste, psychiatre ou séance d'hypnose préalable)
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Personnes sujettes à la dépression chronique
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Pour les personnes ayant subi un AVC récent (moins d’un an) il est déconseillé de recourir à une hypnothérapie.
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Cas particuliers addiction alcool, l’appui d’un médecin est indispensable afin de prendre en compte le sevrage
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Aucune prise en charge pour les addictions aux substances psychoactives
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Troubles sexuels : les troubles sexuels nécessitent un bilan médical et ne peuvent pas être traités par l’hypnose s’ils sont d’ordre médical. Seuls les troubles sexuels non médicaux, par une action sur le registre émotionnel, peuvent être potentiellement traités en hypnothérapie. Le praticien se réservant le droit de vous diriger vers un médecin le cas échéant ou en cours d’accompagnement selon l’évolution constatée.
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Le praticien de thérapies brèves vous accompagne sur les registres émotionnels, systémiques, conjugaux qui influent sur vos comportements, vos relations aux autres ou votre mieux-être. Au cours de ses séances, le thérapeute n’établira aucun diagnostic (médical) et n’a aucune habilitation à réaliser une prescription médicale (médicaments – soins médicaux).
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Le praticien de thérapie brève n’est pas tenu au devoir de résultats : Le praticien met à votre disposition ses ressources professionnelles. Cependant, aucune profession d’accompagnement n’est tenue au résultat.